médiathèque du Grand Dole conserve (dole)

Choeur des mineurs polonais de Douai

Chorale - Chant, Patrimoine - Culture

Œuf-en-Ternois 62130

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La chorale des mineurs polonais de Douai est née en 1947. Elle est composée d'une quarantaine de membres issus en majorité de l'immigration polonaise des années 1920. A l'origine, son répertoire était composé de chants folkloriques et religieux, mais Henri Kikos, son chef de choeur depuis 1993, a enrichi celui-ci tout en conservant ce riche patrimoine culturel. Aujourd'hui, la chorale peut s'enorgueillir d'aborder des chants des XIVe et XVè siècles, baroques, classiques, romantiques et contemporains.

Festival Lournand - La Fabrik

Massilly 71250

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Le quotidien des trois ouvriers-musiciens de La Fabrik est de mettre de la musique en boite. Leur temps est rythmé et cadencé, la mécanique ne tolère pas de fausses notes... Mais Ti, Kata et Mo ne l’entendent pas de cette oreille ! Un vélo, des pommes-monstres, un clairon, une machine qui fait pschitt, une pompe à vélo, des cocottes en papier, une catapulte à bonbons, un ballon rouge, de la fumée, une petite voix qui commande, des sifflets, des boites de conserve... un spectacle musical délicieusement loufoque. Cie Ernesto Barytoni Théâtre / Marionnettes Tout public à partir de 4 ans

Cathédrale Saint-Vincent

Mâcon 71000

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Construite sous le 1er Empire par Alexandre Jean-Baptiste Guy de Gisors, la nouvelle cathédrale, de style néo-classique grec, est dédiée le 24 août 1816 à Saint-Vincent - diacre et martyr - ainsi qu’à Saint-Louis, roi de France. L’ensemble de l’édifice est classé monument historique. Les deux tours et le parvis ont été rénovés en 2006 par la Ville de Mâcon et ont valu à la Ville la distinction des « rubans du Patrimoine » en 2009. Ce monument conserve son riche décor d’origine du XIXe siècle. On peut remarquer, entre autres merveilles d’art et d’architecture, un décor en trompe-l’œil de Bussière, et Le Christ en croix de Jacques-Louis David (1782) exposé au Petit Palais à Paris.

Les archives communales : un patrimoine vivant

Semur-en-Auxois 21140

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Les différents intervenants sont : Jérôme Benet (président de la Société des Sciences de Semur-en-Auxois) pour les archives communales de Semur pour la période médiévale, Dominique Coq (conservateur de bibliothèque) pour deux lettres royales semuroises perdues et retrouvées, Antoine Lacaille, (bibliothécaire de la Société des Sciences de Semur-en-Auxois) pour les archives de la S.S.S. et l’Auxois. Lors de la pause : présentation de quelques pièces d’archives tirées du fonds de la ville de Semur-en-Auxois. Reprise à 15h30 avec François Peyre (architecte du patrimoine) pour l’apport des archives pour la restauration du patrimoine, puis Céline Duchesne, (animatrice du patrimoine) pour les archives, un support pour l’animation du patrimoine. 14h - Salle Ciney, cours de la mairie Accès libre, dans la limite des places disponibles Masque et passe sanitaire requis

Claude Chotard : aquarelle

Mâcon 71000

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DE L’EAU, RIEN QUE DE L’EAU...Dans son atelier, Claude Chotard peint d’après des essais ou des croquis saisis sur le sujet, puis c’est l’imaginaire qui s’invite et vient compléter le travail en cours. Il aime jouer avec l’eau qui parfois prend d‘étonnants détours et se permet des familiarités inouïes. Éternel curieux, il aime tester différents pig-ments et de nouveaux papiers. Parfois il lui semble avoir trouvé la voie de l’aquarelle, la vraie et, l’instant d’après, il retombe dans ses doutes et ses questionnements. C’est la magie de cette technique, l’étrange impres-sion de toujours apprendre. L’aquarelle est le remède contre la vanité : elle oblige à res-ter modeste. Il reste toujours mille choses à découvrir, il faut encore observer, écouter l’eau et l’accompagner, pour qu’elle puisse prendre le sens initialement prévu. Au fil des années, la peinture de Claude Chotard a évolué, est devenue plus abstraite, plus essentielle, tout en conservant des éléments et des formes expressives

Opération broyage et jardinage naturel

Villeneuve-sur-Yonne 89500

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Une nouvelle opération broyage est organisée dans trois communes de l’agglomération. En 2019, les végétaux collectés en déchetterie représentaient 40 % de l’ensemble des apports soit 89 kg/hab. La gestion des végétaux peut vite devenir problématique et risquer de saturer les déchetteries, notamment au printemps et en automne, périodes où l’activité au jardin est plus intense (tonte, taille, débroussaillage). Afin de diminuer l’apport des végétaux en déchetterie, il est primordial de promouvoir leur valorisation sur leur lieu de production et transformer ce que de nombreuses personnes considèrent encore comme un déchet en ressource naturelle et gratuite pour le jardin. Quelques exemples d’utilisation du broyat pour un jardinage au naturel : les petits et gros branchages une fois broyés constituent un excellent paillis pour le jardin et le potager. Le paillage conserve l’humidité des sols en été, protège du froid en hiver et évite la pousse des mauvaises herbes. Le broyat est également utilisé dans le cadre du compostage des biodéchets et végétaux. Le bon équilibre entre matières humides et matières sèches favorisera l’obtention d’un compost de qualité. La tonte mulching[...]

Chantier participatif "C'est Côa cette barrière ? "

Nature - Environnement

Auxi-le-Château 62390

Du 00/00/-100 au 99/99/-199

Le CPIE Val d'Authie vous convit à participer au sauvetage des amphibiens. Chaque année, grenouilles, crapauds, tritons et salamandres réalisent une migration annuelle de leur zone d’hibernation (le plus souvent une zone boisée) vers leur zone de reproduction (étangs, mare, fossés, etc.). Au cours de cette migration, ils sont de plus en plus obligés de traverser des axes routiers qui s’avèrent être des obstacles souvent mortels. Pour conserver ces espèces, chaque année à la même période le CPIE Val d'Authie avec l'aide de bénévole pose une barrière piège pour les amphibiens. Le principe de la barrière consiste à placer un obstacle (bâche plastique) le long de la route qui coupe le couloir de migration des amphibiens. En essayant de contourner cet obstacle, les amphibiens tombent dans des seaux disposés le long de la bâche. Tous les matins, jusqu’à la mi-avril, les amphibiens sont récupérés dans les seaux et transportés de l’autre côté de la route pour poursuivre leur migration. La barrière piège constitue également une source d’informations intéressantes concernant les espèces présentes sur le secteur, la proportion de mâle et de femelle, ainsi que leurs habitudes migratoires. N'oubliez[...]