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Dates
  • le 2024-03-30 à 17:30:00
Contact
  • Téléphone : +33 2 98 51 93 66
Adresse
  • Rue de l'Église
    Église Saint-Tudy
    , Île-Tudy
Information mise à jour le
  • 2024-03-18
  • Île-Tudy

Shiho Narushima
Née à Tokyo, Shiho Narushima commence le piano à l'âge de 4 ans. Dès 11 ans elle joue sur scène en solo, ou de la musique de chambre. Elle remporte le premier prix au concours de Niigata en 1988. Arrivée en France en 1992, elle entre à l'École Normale de Musique de Paris dans la classe de Mme Fabienne Jacquinot, où elle obtient le diplôme d'exécution en 1993. Elle est lauréate du concours de Vienne au Japon en 1994. Elle est de retour en France en 1995, après deux années d'études au lycée musical de l'université de Tokyo. Au sein de l'Ecole Normale de Musique de Paris dans la classe de Ramzi Yassa et de Gérard Frémy, elle obtient successivement les Diplômes Supérieur d'exécution ( 1996 ) et supérieur de Concertiste - obtenu à l'unanimité du jury - en 1998. Elle a ensuite travaillé dans le prestigieux établissement de « l'Académie d'Imola » en Italie entre 2000 et 2003, sous la direction de M. Lazar Berman et de M. Piero Rattalino. Elle a terminé ses études en 2006 au CNSM de Lyon dans la classe de perfectionnement de M. Pierre Pontier. Elle a également participé à plusieurs stages de Mme France Clidat.

Professeur et accompagnatrice aux conservatoires de Musique de Chantilly et de Noyon entre 2006 et 2010, elle était également accompagnatrice officielle à l'École Normale de Musique de Paris en 2009 et 2010.

Après 3 années passées en Nouvelle-Calédonie, en tant que professeur et accompagnatrice de classe de chant au Conservatoire de musique et de danse à Nouméa, elle a habité à Poitiers puis à Nantes jusqu'en août 2018, où elle s'est produite à de maintes occasions. Depuis Septembre 2018, elle réside à Quimper, en Bretagne.

Jean Estournet
Tout enfant, à Paris, son père lui faisait écouter les concerts retransmis par la radio. « C'était un grand amateur d'opéra, il avait chanté à Nantes, sous la direction de Camille Saint-Saëns. Je lui dois mon amour pour la musique ». Très vite, le jeune Jean montre de réelles dispositions musicales. « Avant de toucher un instrument, tu dois savoir lire et apprendre le solfège », lui dit sa mère. « Je n'avais que 5 ans, mais j'ai compris le message. Six mois plus tard, je lisais les titres de Combat. Mes parents se sont rendus à l'évidence, le temps de l'apprentissage était venu ». « J'avais un don » Plusieurs professeurs vont enseigner, avec plus ou moins de bonheur, le violon, au jeune garçon. Finalement, Miguel Candella, un copain du violoniste Jacques Thibaud, aura un rôle déterminant. « J'avais 12 ans, lorsqu'il a confié à mes parents : ? Jacques peut devenir professionnel ? ». « J'avais un don, reprends Jean Estournet, il me restait à travailler ». Il se présente au cours préparatoire ( l'équivalent du Conservatoire national de région aujourd'hui ), se lie d'amitié avec des musiciens aujourd'hui connus, tel le chef d'orchestre Emmanuel Krivine. « À l'époque, nous étions tous préparés à devenir solistes. On cherchait l'excellence, à présent les choses sont bien différentes ». Son premier poste, il l'obtiendra à 19 ans et sera violon solo à l'opéra de Lille. Ses premières armes, il les fait sous la baguette « sévère » de Gustave Cloez. « J'ai appris le métier, me suis plié à sa discipline ». À Lille, on joue des opérettes, « une dure école, très formatrice », dont il garde un bon souvenir. La Garde républicaine Militaire, il entre à la Garde républicaine, « ce n'était pas palpitant », mais le souvenir d'un concert à l'Élysée, devant le Général De Gaulle, « la musique l'ennuyait », l'amuse toujours. Parallèlement, il forme l'Ensemble Rameau, troque les instruments modernes pour les copies d'anciens, époque oblige, entre à l'Opéra-comique. Là, il joue avec Isaac Stern, Rostropovitch, Igor et David Oïstrakh... John Elliot Gardiner veut créer un orchestre à l'opéra de Lyon. Jean Estournet quitte Radio France et, à l'invitation du grand chef d'orchestre, se retrouve à Lyon. C'est là qu'il terminera sa brillante carrière. Installé en Bretagne, pour des « raisons personnelles », Jean Estournet rêve toujours de musique.

Anne Roturier
Anne débute le violoncelle à Concarneau. En 2009, elle obtient son Diplôme National Supérieur d'Études Musicales au CNSM de Lyon.

Elle se passionne pour l'orchestre et la musique de chambre et est régulièrement invitée à jouer au sein d'orchestres nationaux tels que l'orchestre National des Pays de la Loire, l'orchestre de Bretagne, l'ensemble Matheus, l'orchestre Prométhée, l'orchestre Lamoureux, l'opéra de Dijon, etc.

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