photo Nuit d'été symphonique

Nuit d'été symphonique

Bussy-le-Grand 21150

Du /00/1e16 au //099

Orchestre Dijon Bourgogne - Soprano : Sarah Aristidou - Direction musicale : Christoph Koncz / Mozart : Symphonie n°35 en ré majeur, K. 385 « Haffner » & airs d'opéras et de concerts -Beethoven : Symphonie n°2 en ré majeur, op. 36. Solennelle et majestueuse, s’amusant des contrastes entre élégance tranquille et vive agitation, la symphonie n°35 porte le nom du bourgmestre Sigmund Haffner qui en passa commande à Mozart à l’occasion de son anoblissement en 1782. L’énergie qu’elle porte d’un bout à l’autre de ses quatre mouvements laisse à peine le temps au public de s’installer dans une écoute qu’il est déjà emporté ailleurs. Majestueuse et fougueuse, la 2ème symphonie de Beethoven l’est aussi, nous emportant dans un flot étourdissant de notes. On se laisse charmer par des mélodies semblant flotter au-dessus de l’orchestre, mais ce dernier, impétueux, explose et nous entraîne irrésistiblement à sa suite dans un rythme effréné et bouillonnant. Majestueux, enfin, sera le cadre de ces concerts : le château du tumultueux comte Roger de Bussy-Rabutin, courtisan en disgrâce du roi Louis XIV et qui fût exilé en Bourgogne pour avoir dévoilé les galanteries des grands de son temps.[...]

photo Orchestre Dijon Bourgogne | Fête de la musique 2024

Orchestre Dijon Bourgogne | Fête de la musique 2024

Musique classique

Dijon - 21

Le 21/06/2024

Violon et piano s’effacent devant la créativité d’Adélaïde Ferrière et de son marimba dans ce programme virtuose, où la musique semble plus vivante que jamais. En prime, une page admirable de la trop méconnue Florence Price.   Œuvre d’un Bizet de dix-sept ans, la Symphonie en ut (1855)[...]

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Orchestre Dijon Bourgogne

Dijon 21000

Le 21/06/2024

Violon et piano s’effacent devant la créativité d’Adélaïde Ferrière et de son marimba dans ce programme virtuose, où la musique semble plus vivante que jamais. En prime, une page admirable de la trop méconnue Florence Price. Œuvre d’un Bizet de dix-sept ans, la Symphonie en ut (1855) témoigne certes de l’influence de Mendelssohn et Gounod, mais révèle un naturel et un génie mélodique faisant déjà songer à L’Arlésienne. Bizet ? C’est Carmen qui vient aux lèvres, et que salua Pablo de Sarasate, en 1882, avec une fantaisie pour violon qui devait rester l’une de ses œuvres les plus connues. Douze minutes de haute voltige instrumentale, exécutée au marimba par les soins d’Adélaïde Ferrière, qui s’empare également de la partie de piano solo dans la célébrissime Rhapsody in Blue (1924) de Gershwin. Énergie et langueur « jazzistiques » fusionnent dans cette page ainsi recréée pour nos oreilles. Rare et passionnant est enfin l’Andante moderato (1929) de Florence Price, qui fut la première femme noire américaine reconnue comme compositrice, et dont le style, bien qu’influencé par Dvorák, arbore les mélodies pentatoniques typiques de la tradition afro-américaine. Dans le cadre de[...]

photo Orchestre Dijon Bourgogne

Orchestre Dijon Bourgogne

Musique

Dijon 21000

Le 21/06/2024

Violon et piano s’effacent devant la créativité d’Adélaïde Ferrière et de son marimba dans ce programme virtuose, où la musique semble plus vivante que jamais. En prime, une page admirable de la trop méconnue Florence Price. Œuvre d’un Bizet de dix-sept ans, la Symphonie en ut (1855) témoigne certes de l’influence de Mendelssohn et Gounod, mais révèle un naturel et un génie mélodique faisant déjà songer à L’Arlésienne. Bizet ? C’est Carmen qui vient aux lèvres, et que salua Pablo de Sarasate, en 1882, avec une fantaisie pour violon qui devait rester l’une de ses œuvres les plus connues. Douze minutes de haute voltige instrumentale, exécutée au marimba par les soins d’Adélaïde Ferrière, qui s’empare également de la partie de piano solo dans la célébrissime Rhapsody in Blue (1924) de Gershwin. Énergie et langueur « jazzistiques » fusionnent dans cette page ainsi recréée pour nos oreilles. Rare et passionnant est enfin l’Andante moderato (1929) de Florence Price, qui fut la première femme noire américaine reconnue comme compositrice, et dont le style, bien qu’influencé par Dvorák, arbore les mélodies pentatoniques typiques de la tradition afro-américaine. Dans le cadre de[...]

photo Orchestre National de France

Orchestre National de France

Dijon 21000

Le 13/09/2024

L’Orchestre National de France revient à Dijon sous la baguette de Cristian Macelaru, son directeur musical, avec trois chefs-d’œuvre: Images de Claude Debussy, la Symphonie n°2 d’Elsa Barraine, et le diabolique Concerto pour violon de Johannes Brahms interprété par l’archet infaillible de Julia Fischer! Dédié à son ami le grand violoniste Joseph Joachim, le Concerto de Brahms avait pour vocation de rivaliser avec ceux de Beethoven et Mendelssohn. Donnant libre cours à sa veine « tzigane» comme à sa propre inspiration mélodique, qui rayonne dans l’Adagio, Brahms hissa si haut la virtuosité que le chef d’orchestre Hans von Bülow déclara que l’œuvre avait été écrite non pas pour le violon, mais contre le violon! Malgré l’effroi qu’il suscita au début, il est devenu, avec son électrisant Finale, l’un des piliers du répertoire. Pianiste raffinée et résistante, la compositrice Elsa Barraine (1910-1999) dévoile dans sa Symphonie n°2 un Allegro qui n’est pas dénué de doux sarcasme, précédant une sombre « Marche funèbre» et un Finale qui transporte les thèmes du premier mouvement dans un monde plus léger et ludique. Chef-d’œuvre du dernier Debussy, les trois Images rayonnent de[...]

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Orchestre National de France

Musique

Dijon 21000

Le 13/09/2024

L’Orchestre National de France revient à Dijon sous la baguette de Cristian Macelaru, son directeur musical, avec trois chefs-d’œuvre: Images de Claude Debussy, la Symphonie n°2 d’Elsa Barraine, et le diabolique Concerto pour violon de Johannes Brahms interprété par l’archet infaillible de Julia Fischer! Dédié à son ami le grand violoniste Joseph Joachim, le Concerto de Brahms avait pour vocation de rivaliser avec ceux de Beethoven et Mendelssohn. Donnant libre cours à sa veine « tzigane» comme à sa propre inspiration mélodique, qui rayonne dans l’Adagio, Brahms hissa si haut la virtuosité que le chef d’orchestre Hans von Bülow déclara que l’œuvre avait été écrite non pas pour le violon, mais contre le violon! Malgré l’effroi qu’il suscita au début, il est devenu, avec son électrisant Finale, l’un des piliers du répertoire. Pianiste raffinée et résistante, la compositrice Elsa Barraine (1910-1999) dévoile dans sa Symphonie n°2 un Allegro qui n’est pas dénué de doux sarcasme, précédant une sombre « Marche funèbre» et un Finale qui transporte les thèmes du premier mouvement dans un monde plus léger et ludique. Chef-d’œuvre du dernier Debussy, les trois Images rayonnent de[...]

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Orchestre National de France

Musique classique

Dijon - 21

Du 13/09/2024 à 20:00 au 13/09/2024

L’Orchestre National de France revient à Dijon sous la baguette de Cristian Măcelaru, son directeur musical, avec trois chefs-d’œuvre: Images de Claude Debussy, la Symphonie n°2 d’Elsa Barraine, et le diabolique Concerto pour violon de Johannes Brahms interprété par l’archet infaillible de[...]

photo Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #2

Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #2

Dijon 21000

Le 28/03/2025

Qui peut résister au début puissant et tellurique du premier Concerto de Brahms? Pour ce second volet de leur superbe diptyque, Sir John Eliot Gardiner et Alexandre Kantorow font fusionner le piano et l’orchestre, avant que ne retentisse, gorgée d’âme slave, l’une des plus attachantes symphonies de Dvorák. Œuvre d’un jeune homme de vingt-et-un ans encore sous l’influence de Robert et Clara Schumann, le Concerto n°1 de Brahms connut des débuts chaotiques: conçu d’abord comme une symphonie, il fut incompris lors de sa création en 1859, puis franchement sifflé à Leipzig! On peine à le croire tant la splendeur de la partition fait aujourd’hui consensus, avec son premier mouvement au début véhément (qui fit tout de même l’admiration de Bruckner!), son Adagio en forme de cantique intériorisé, et son Finale enjoué, aux accents populaires et dansants. Caractéristique de sa période «slave», la Symphonie n°6 de Dvorák (1880) s’ouvre avec un Allegro d’une grande sérénité, véritable démonstration d’écriture orchestrale. L’Adagio qui suit, au climat nocturne, magnifie les timbres instrumentaux tout en ménageant des incises dramatiques. À la place du traditionnel Scherzo, Dvorák insère[...]

photo Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #2

Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #2

Musique, Danse - Bal - Cabaret, Competition sportive

Dijon 21000

Le 28/03/2025

Qui peut résister au début puissant et tellurique du premier Concerto de Brahms? Pour ce second volet de leur superbe diptyque, Sir John Eliot Gardiner et Alexandre Kantorow font fusionner le piano et l’orchestre, avant que ne retentisse, gorgée d’âme slave, l’une des plus attachantes symphonies de Dvorák. Œuvre d’un jeune homme de vingt-et-un ans encore sous l’influence de Robert et Clara Schumann, le Concerto n°1 de Brahms connut des débuts chaotiques: conçu d’abord comme une symphonie, il fut incompris lors de sa création en 1859, puis franchement sifflé à Leipzig! On peine à le croire tant la splendeur de la partition fait aujourd’hui consensus, avec son premier mouvement au début véhément (qui fit tout de même l’admiration de Bruckner!), son Adagio en forme de cantique intériorisé, et son Finale enjoué, aux accents populaires et dansants. Caractéristique de sa période «slave», la Symphonie n°6 de Dvorák (1880) s’ouvre avec un Allegro d’une grande sérénité, véritable démonstration d’écriture orchestrale. L’Adagio qui suit, au climat nocturne, magnifie les timbres instrumentaux tout en ménageant des incises dramatiques. À la place du traditionnel Scherzo, Dvorák insère[...]

photo Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #1

Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #1

Dijon 21000

Le 27/03/2025

Bien connue, l’admiration réciproque que se vouaient Brahms et Dvorák se voit ici célébrée par des interprètes exceptionnels, à la croisée des générations. Au menu de cette première des deux soirées à ne pas manquer: l’un des plus illustres Concertos du répertoire et l’une des pages les plus profondes du maître tchèque. Composé vingt-deux ans après le premier, le Concerto pour piano n°2 de Brahms (1881) connut dès sa création – par le compositeur au clavier – un immense succès. Son climat légendaire s’exprime dès le noble appel de cors du premier mouvement, qui déplie sa beauté épique. Féroce et orageux, le Scherzo précède un Andante beaucoup plus contemplatif, dans lequel le violoncelle, quasi-soliste, rivalise avec le piano. Puis vient le Finale enjoué, aux couleurs hongroises, dont l’énergie couronne un monument du répertoire pianistique. En regard, la Symphonie n°7 de Dvorák (1885) est certainement sa partition la plus « allemande», dans laquelle s’entend l’influence de Brahms et de Wagner. Malgré son début grave et austère, l’Allegro initial libère vite sa fougue, enchaînant sur un Adagio gorgé de piété et de lyrisme. Bien que d’énigmatiques reflets wagnériens le colorent[...]

photo Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #1

Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #1

Musique, Competition sportive

Dijon 21000

Le 27/03/2025

Bien connue, l’admiration réciproque que se vouaient Brahms et Dvorák se voit ici célébrée par des interprètes exceptionnels, à la croisée des générations. Au menu de cette première des deux soirées à ne pas manquer: l’un des plus illustres Concertos du répertoire et l’une des pages les plus profondes du maître tchèque. Composé vingt-deux ans après le premier, le Concerto pour piano n°2 de Brahms (1881) connut dès sa création – par le compositeur au clavier – un immense succès. Son climat légendaire s’exprime dès le noble appel de cors du premier mouvement, qui déplie sa beauté épique. Féroce et orageux, le Scherzo précède un Andante beaucoup plus contemplatif, dans lequel le violoncelle, quasi-soliste, rivalise avec le piano. Puis vient le Finale enjoué, aux couleurs hongroises, dont l’énergie couronne un monument du répertoire pianistique. En regard, la Symphonie n°7 de Dvorák (1885) est certainement sa partition la plus « allemande», dans laquelle s’entend l’influence de Brahms et de Wagner. Malgré son début grave et austère, l’Allegro initial libère vite sa fougue, enchaînant sur un Adagio gorgé de piété et de lyrisme. Bien que d’énigmatiques reflets wagnériens le colorent[...]

photo Orchestre Dijon Bourgogne & Orchestre Symphonique de Mâcon

Orchestre Dijon Bourgogne & Orchestre Symphonique de Mâcon

Dijon 21000

Le 14/12/2024

Envie d’une promenade dans des paysages sonores remarquables? L’Orchestre Dijon Bourgogne et l’Orchestre Symphonique de Mâcon unissent ici leurs talents pour vous proposer un format inédit de concerts en famille, ouverts aux petits comme aux grands. Imaginez deux orchestres, l’Orchestre Dijon Bourgogne et l’Orchestre Symphonique de Mâcon, en compagnie du chef David Hurpeau et du récitant Thierry Weber, dont la voix vous guide au sein d’un univers sonore tissé d’enchantements. Venez découvrir que certains instruments de l’orchestre sont plus à même de se transformer en tornade ou tempête, d’autres particulièrement adaptés pour illustrer les motifs floraux et boisés, d’autres encore plus aquatiques ou plus aériens, plus mystérieux ou plus gazouillants. Dans la Symphonie écologique d’André Popp, que certains connaissent peut-être grâce à Piccolo, Saxo and Cie, la musique dit la terre, les éléments, le fracas des hommes et la renaissance des fleurs au printemps. Dans L’Apprenti sorcier, le poème symphonique de Paul Dukas que beaucoup ont peut-être découvert dans Fantasia de Walt Disney, l’orchestre raconte les tentatives vaines du petit sorcier à contrôler son enchantement[...]

photo Orchestre Dijon Bourgogne

Orchestre Dijon Bourgogne

Dijon 21000

Le 18/01/2025

À la suite de la Mini Symphonie #1 présentée en décembre, l’Opéra de Dijon et l’Orchestre Dijon Bourgogne vous proposent un nouveau concert à découvrir en famille, ouvert aux petits comme aux grands. Voici l’occasion unique de plonger dans le monde de la jeune compositrice française Camille Pépin: sa science de l’orchestration et son imagination transforment l’orchestre en une immense palette de couleurs. Joseph Bastian et l’Orchestre Dijon Bourgogne dialoguent avec Thierry Weber pour vous guider dans ses paysages impressionnistes d’une infinie délicatesse. De quoi se délecter du bruit de l’eau et des lueurs aurorales. Les trois pièces sélectionnées: Les Eaux célestes, La source d’Yggdrasil et Avant les clartés de l’Aurore ont été écrites entre 2018 et 2023 ; elles constituent donc une introduction parfaite aux musiques de notre temps ainsi qu’aux récits qu’elles véhiculent.

photo Orchestre Dijon Bourgogne & Orchestre Symphonique de Mâcon

Orchestre Dijon Bourgogne & Orchestre Symphonique de Mâcon

Musique

Dijon 21000

Le 14/12/2024

Envie d’une promenade dans des paysages sonores remarquables? L’Orchestre Dijon Bourgogne et l’Orchestre Symphonique de Mâcon unissent ici leurs talents pour vous proposer un format inédit de concerts en famille, ouverts aux petits comme aux grands. Imaginez deux orchestres, l’Orchestre Dijon Bourgogne et l’Orchestre Symphonique de Mâcon, en compagnie du chef David Hurpeau et du récitant Thierry Weber, dont la voix vous guide au sein d’un univers sonore tissé d’enchantements. Venez découvrir que certains instruments de l’orchestre sont plus à même de se transformer en tornade ou tempête, d’autres particulièrement adaptés pour illustrer les motifs floraux et boisés, d’autres encore plus aquatiques ou plus aériens, plus mystérieux ou plus gazouillants. Dans la Symphonie écologique d’André Popp, que certains connaissent peut-être grâce à Piccolo, Saxo and Cie, la musique dit la terre, les éléments, le fracas des hommes et la renaissance des fleurs au printemps. Dans L’Apprenti sorcier, le poème symphonique de Paul Dukas que beaucoup ont peut-être découvert dans Fantasia de Walt Disney, l’orchestre raconte les tentatives vaines du petit sorcier à contrôler son enchantement[...]

photo Orchestre Dijon Bourgogne

Orchestre Dijon Bourgogne

Musique, Science et technique

Dijon 21000

Le 18/01/2025

À la suite de la Mini Symphonie #1 présentée en décembre, l’Opéra de Dijon et l’Orchestre Dijon Bourgogne vous proposent un nouveau concert à découvrir en famille, ouvert aux petits comme aux grands. Voici l’occasion unique de plonger dans le monde de la jeune compositrice française Camille Pépin: sa science de l’orchestration et son imagination transforment l’orchestre en une immense palette de couleurs. Joseph Bastian et l’Orchestre Dijon Bourgogne dialoguent avec Thierry Weber pour vous guider dans ses paysages impressionnistes d’une infinie délicatesse. De quoi se délecter du bruit de l’eau et des lueurs aurorales. Les trois pièces sélectionnées: Les Eaux célestes, La source d’Yggdrasil et Avant les clartés de l’Aurore ont été écrites entre 2018 et 2023 ; elles constituent donc une introduction parfaite aux musiques de notre temps ainsi qu’aux récits qu’elles véhiculent.

photo Orchestre Dijon Bourgogne & Orchestre Symphonique de Mâcon

Orchestre Dijon Bourgogne & Orchestre Symphonique de Mâcon

Musique classique

Dijon - 21

Du 14/12/2024 à 17:00 au 14/12/2024 à 18:00

Mini Symphonie #1, dès 8 ans Envie d’une promenade dans des paysages sonores remarquables? L’Orchestre Dijon Bourgogne et l’Orchestre Symphonique de Mâcon unissent ici leurs talents pour vous proposer un format inédit de concerts en famille, ouverts aux petits comme aux grands.

photo Mahler 4ème Symphonie - Brahms concerto pour violon 
Concert de La Chambre Symphonique

Mahler 4ème Symphonie - Brahms concerto pour violon Concert de La Chambre Symphonique

Beaune 21200

Le 13/11/2021

Jeune orchestre créé en janvier 2018, la Chambre Symphonique est implantée en Bourgogne et Rhône-Alpes. Elle rassemble plus de 70 musiciens : étudiants issus des conservatoires supérieurs ou régionaux français, suisses et belges, amateurs éclairés et jeunes musiciens professionnels se retrouvant pour partager leur passion avec le plus grand nombre. Cet automne, La Chambre Symphonique s'attaque à la puissance de la musique germanique à travers deux œuvres délicates et grandioses : Le Concerto pour violon de Johannes Brahms, écrit en 1878, pour et avec son ami virtuose Joseph Joachim. Ce sera l'occasion pour l'orchestre de retrouver la brillante violoniste Sophia Fournier (étudiante en Master du CNSMD de Lyon). Ensuite la Chambre Symphonique vous fera (re)découvrir la 4e Symphonie, en sol majeur, de Gustav Mahler. Cette œuvre est comme une pastorale, lyrique et classique. Le premier mouvement évoque des danses villageoises. Le second introduit un violon solo désaccordé, donnant un côté rustique et diabolique à la partition. En 3ème viendra un majestueux adagio. Il se termine par un tutti, introduisant le dernier mouvement, vocal. La chanteuse Adèle Lorenzi Favart prêtera[...]

photo Les Folies d'Automne

Les Folies d'Automne

Fontaine-lès-Dijon 21121

Du 26/11/2021 au 28/11/2021

FOLIES D’AUTOMNE 26-27-28 novembre 2021 La Scène Fontainoise, en partenariat avec la ville de Fontaine-lès-Dijon, vous invite aux « Folies d’Automne »…Trois jours de musique …huit concerts exceptionnels…un programme éclectique : Beethoven, Chopin, Lalo, Gershwin, Saint-Saëns, Vivaldi, Poulenc, Bach, Liszt, Piazzolla, Rameau, Scarlatti, Chausson, Debussy, Grieg... Notre marraine Anne Queffélec ouvrira le festival le 26 novembre à 20h30 avec le concerto n°4 de Beethoven pour piano, accompagnée par l’Ensemble Orchestral de Dijon, dirigé par Flavien Boy ---qui poursuivra avec la Symphonie n°4 de Beethoven --- Vous entendrez des sonorités nouvelles avec le marimba d’Adélaïde Ferrière, le hautbois et le basson du trio Walter, l’accordéon du trio Fauve---Vous retrouverez vos solistes favoris: Eve-Melody Salom, piano dans le concerto n°2 de Chopin - Nathan Mierdl, violon, dans la Symphonie Espagnole de Lalo... mais aussi le Songe du roi et de jeunes musiciens talentueux --- Programme sur : http://lascenefontainoise.over-blog.com/ Renseignements : 06 01 96 12 47 A chaque concert, masque et pass sanitaire obligatoires.

photo Symphonie n°1 en sol mineur de TCHAIKOVSKY / Concerto N°2 pour piano  de RACHMANINOV / Concert de La Chambre Symphonique

Symphonie n°1 en sol mineur de TCHAIKOVSKY / Concerto N°2 pour piano de RACHMANINOV / Concert de La Chambre Symphonique

Musique

Beaune 21200

Le 05/03/2022

Cet hiver, La Chambre Symphonique vous emmène pour un voyage en Russie à travers deux œuvres à la fois tendres et remarquables : La Symphonie n°1 de Tchaïkovski, écrite au printemps 1866 et surnommée « Rêves d'hiver », nous plonge dans les réminiscences hivernales ressenties par Tchaïkovski durant son voyage de Saint-Pétersbourg à Moscou et lors de son séjour sur les îles Valaam. Elle rend également hommage à Mendelssohn, qu’il admirait tout particulièrement pour sa capacité à décrire dans une symphonie un paysage et la beauté de la nature. Il n’en demeure pas moins que c’est à travers un lyrisme généreux et une coloration tonale très riche que cette symphonie nous emporte avec « beaucoup de rêve et peu d’hiver, tout au moins peu d’hiver de la nature mais un hiver de l’âme, où triomphe une mélancolie diffuse, très russe… » Vous aurez ensuite le plaisir d’entendre le 2ème Concerto pour piano de Rachmaninov, interprété par la soliste Yuki Ito (étudiante en master au CNSMD de Lyon). Créé en 1901 à Moscou, c’est véritablement de la propre vie de Rachmaninov dont il s’agit : saisissant par l’esprit grave et torturé du premier mouvement, l’espoir du second et enfin la rédemption[...]

photo Orchestre des Champs-Elysées

Orchestre des Champs-Elysées

Musique, Competition sportive

Dijon 21000

Le 20/05/2025

Après s’être confronté la saison passée à la profondeur du Requiem de Mozart, l’Orchestre des Champs-Élysées est de retour pour une magistrale démonstration beethovénienne confiée à la baguette experte de Philippe Herreweghe. Créée en 1807, la Symphonie n°4 est une œuvre pleine de charme, dont Schumann a déclaré qu’elle était, entre l’Héroïque et la célèbre Cinquième, « comme une mince fille de la Grèce entre deux géants nordiques»! Malgré son introduction lente et inquiétante, le premier mouvement déborde de grâce, précédent un Adagio dont la mélodie, d’une inexprimable tendresse, subjugua Berlioz. Viennent ensuite un Scherzo énergique, tout en contrastes de nuances, suivi d’un Finale bouillonnant, en forme de mouvement perpétuel. Six années à peine plus tard, Beethoven connaissait avec sa Symphonie n°7 l’un des plus grands triomphes publics de sa carrière. Après un mouvement initial d’abord majestueux puis rythmiquement explosif, vient l’illustre Allegretto, admirable et obsédante marche qui s’orne peu à peu d’admirables contrechants. Enjoué, le Scherzo libère l’esprit de la danse bien qu’il cite une mélodie liturgique; quant au Finale, il est l’exemple même de la déflagration[...]

photo Orchestre des Champs-Elysées

Orchestre des Champs-Elysées

Dijon 21000

Le 20/05/2025

Après s’être confronté la saison passée à la profondeur du Requiem de Mozart, l’Orchestre des Champs-Élysées est de retour pour une magistrale démonstration beethovénienne confiée à la baguette experte de Philippe Herreweghe. Créée en 1807, la Symphonie n°4 est une œuvre pleine de charme, dont Schumann a déclaré qu’elle était, entre l’Héroïque et la célèbre Cinquième, « comme une mince fille de la Grèce entre deux géants nordiques»! Malgré son introduction lente et inquiétante, le premier mouvement déborde de grâce, précédent un Adagio dont la mélodie, d’une inexprimable tendresse, subjugua Berlioz. Viennent ensuite un Scherzo énergique, tout en contrastes de nuances, suivi d’un Finale bouillonnant, en forme de mouvement perpétuel. Six années à peine plus tard, Beethoven connaissait avec sa Symphonie n°7 l’un des plus grands triomphes publics de sa carrière. Après un mouvement initial d’abord majestueux puis rythmiquement explosif, vient l’illustre Allegretto, admirable et obsédante marche qui s’orne peu à peu d’admirables contrechants. Enjoué, le Scherzo libère l’esprit de la danse bien qu’il cite une mélodie liturgique; quant au Finale, il est l’exemple même de la déflagration[...]