Mikeal Jestin se dit " peinteur " en hommage aux
artisans qui peignaient les faïences de
Quimper. Les
Bretons sont ainsi faits, ils tirent des bords pour le plaisir souvent de raser les cailloux. Les cailloux ici ont été des années de
théâtre en Bretagne militante et de rencontres de poètes et de peintres amis. Aujourd'hui il peint lui-même des Taolennou. Ce sont des sortes de bannières comme on en promenait jadis dans les campagnes qui racontent des
histoires, religieuses parfois mais païennes le plus souvent. Bretonnes quoi. L'
atelier-vitrine sera ouvert l'été en général durant les week-end ou en téléphonant pour visiter.