photo Spectacle « La Part de P’tit Jack » - Compagnie des Docks

Spectacle « La Part de P’tit Jack » - Compagnie des Docks

Spectacle, Théâtre, Lecture - Conte - Poésie, Lecture - Conte - Poésie, Manifestation culturelle

BERCK, 62600

Le 14/11/2025

À 19h à l’auditorium de la Médiathèque de Berck-sur-Mer (Place du 18 juin) – Durée : 1h Tout public, dès 13 ans – Gratuit sur réservation : mediatheques@ca2bm.fr Pas de décor, pas de costume. Juste deux comédiens à une table, des micros, quelques objets et un monde entier qui surgit. Bienvenue dans La part de P'tit Jack, une fable sonore à vue. Tout se fabrique sous nos yeux : la pluie, les pas, les craquements, les silences aussi. Ce qui d'habitude reste caché devient spectacle. Et ce qui se raconte, derrière les bruitages, c'est une histoire d'ogre. Mais pas le genre qui croque des enfants. Plutôt celui qui porte un vide immense dans le ventre. La part de P'titJack parle de solitude, de manque, d'amour qui dérape ou qui manque à l'appel. Un spectacle drôle, sensible, un peu étrange... comme l'enfance qu'on pensait avoir quittée. Organisé par la Communauté d’Agglomération des 2 Baies en Montreuillois - culture@ca2bm.fr / +33 (0)3 21 06 81 43

photo ARTISTE : MONKEY BIRD

ARTISTE : MONKEY BIRD

Animaux, Nature - Environnement

Boulogne-sur-Mer 62200

Du 27/08/2020 au 30/08/2020

Artistes français du 27 au 30 juillet. Derrière ce nom se cache un duo d’artistes français, Temor et Blow, créé à Bordeaux en 2012. Leurs œuvres transcrivent les thèmes sociaux en fables murales grâce à la représentation d’animaux totems : l’oiseau (Blow) et le singe (Temor). Le tandem joue avec les sémantiques de ces singes et oiseaux sacralisés pour traiter de l’humain. Entre ses obsessions matérielles et ses fantasmes de liberté, l’Homme doit trouver un juste équilibre afin de se construire en tant qu’animal social. Leur inspiration est principalement tirée d’œuvres sacrées ou lyriques (enluminures, vitraux, ornementation architecturale, estampes japonaises…). Monkey Bird aime varier les techniques en fonction de l’espace sélectionné : pochoirs, gravures, dessins, découpages, affiches en toile de verre… Leurs créations sont parsemées à travers les grandes villes européennes : Berlin, Amsterdam, Paris sans oublier le plus grand pochoir du monde (32 mètres de haut) visible à Grenoble.

photo PODE SER & CHIBANI - FESTIVAL LA BEAUTE DU GESTE

PODE SER & CHIBANI - FESTIVAL LA BEAUTE DU GESTE

Festival généraliste, Danse - Bal - Cabaret

SALLAUMINES, 62430

Le 24/03/2022

Pode Ser illustre la difficulté d’être soi ; il est question de limites, d'aspirations mais aussi de désarroi. Peut-être le désarroi d'être au monde et de n'être que soi. Leïla Ka s’engage seule dans un dialogue brut, à travers différents langages chorégraphiques, à la recherche des identités multiples qui constituent la personne. Lorsqu’on regarde au loin, derrière soi, on prend la mesure de ce que l’on a traversé, de ce et ceux qui nous ont sculpté, des paroles qui nous ont construit, on compte ceux qui nous ont accompagnés et puis on s’étonne. On s’étonne de tout ce que l’on a été, les rôles qu’on a joués, certains assignés et de ce qu’on aurait pu être, peut-être… Et lorsqu’on regarde là, juste devant soi, on compte tout ceux que l’on est aujourd’hui, on liste ceux qu’on devrait être ou rêveraient d’être encore, ainsi que tous les personnages dans lesquels on est disséminé. Et ça fait beaucoup. « Chibani plante les origines de ma présence sur scène, les défis que doivent relever les danseurs ou artistes qui s’engagent dans une voie incertaine parce que authentique mais fragile. Pour la première fois, je raconte l’envers du décor de mon cheminement artistique.» Aziz[...]

photo PODE SER & CHIBANI - FESTIVAL LA BEAUTE DU GESTE

PODE SER & CHIBANI - FESTIVAL LA BEAUTE DU GESTE

Manifestation culturelle

Sallaumines 62430

Le 24/03/2022

Pode Ser illustre la difficulté d’être soi ; il est question de limites, d'aspirations mais aussi de désarroi. Peut-être le désarroi d'être au monde et de n'être que soi. Leïla Ka s’engage seule dans un dialogue brut, à travers différents langages chorégraphiques, à la recherche des identités multiples qui constituent la personne. Lorsqu’on regarde au loin, derrière soi, on prend la mesure de ce que l’on a traversé, de ce et ceux qui nous ont sculpté, des paroles qui nous ont construit, on compte ceux qui nous ont accompagnés et puis on s’étonne. On s’étonne de tout ce que l’on a été, les rôles qu’on a joués, certains assignés et de ce qu’on aurait pu être, peut-être… Et lorsqu’on regarde là, juste devant soi, on compte tout ceux que l’on est aujourd’hui, on liste ceux qu’on devrait être ou rêveraient d’être encore, ainsi que tous les personnages dans lesquels on est disséminé. Et ça fait beaucoup. « Chibani plante les origines de ma présence sur scène, les défis que doivent relever les danseurs ou artistes qui s’engagent dans une voie incertaine parce que authentique mais fragile. Pour la première fois, je raconte l’envers du décor de mon cheminement artistique.» Aziz[...]