photo Un dimanche au musée - Concert d'Olivier Laville

Un dimanche au musée - Concert d'Olivier Laville

Musique, Lecture - Conte - Poésie

Dole 39100

Le 05/10/2025

Une fois par mois, venez profiter en alternance d'un concert, d'un après-midi jeux de sociétés ou d'une séance de yoga le dimanche après-midi au musée. Ce mois-ci, le musée vous propose un concert d'Olivier Laville, pianiste, avec au programme une sélection de Préludes de Debussy et de Balades de Brahms. Diplômé des Musikhochschule de Freiburg, Köln ainsi que du CNSM de Paris, Olivier Laville s’est formé auprès de musiciens comme Eric Le Sage et Claus Kanngiesser. Né en 1988, Olivier mène une activité de concertiste en soliste, avec orchestre, mais aussi en musique de chambre. Il est l’invité de nombreux festivals en France, Allemagne, Belgique et Suisse dans des formations allant du piano solo au quintette avec quatuor à cordes. Passionné de musique française, son dernier disque est paru au label Chanteloup Musique, et est consacré à la musique de Charles Bordes en duo avec le pianiste François-René Duchâble. Olivier est titulaire du Certificat d’Aptitude à l’enseignement (CA) et enseigne le piano à l’Institut Jaques Dalcroze de Genève. Programme : Johannes Brahms, 4 Ballade op.10 I- Andante II- Andante espressivo e dolce III- Intermezzo Allegro IV- Andante con moto[...]

photo Tempest Project

Tempest Project

Dijon 21000

Du /00/1e16 au //099

Peter Brook a plusieurs fois monté La Tempête. Pour cette création de 2021, initiée au Théâtre des Bouffes du Nord à Paris, Marie-Hélène Estienne et lui ont opté pour leur adaptation de la pièce de William Shakespeare, la dernière écrite par le célèbre dramaturge, selon eux. Cette version est voulue concentrée, « écourtée des mises en scène compliquées ou somptueuses » attachée à l'oeuvre originale. « Libre », le mot de la fin, résonne en filigrane et en écho. En effet, La Tempête est un conte où rien ne peut être pris à la lettre ; c'est une énigme traversée par l'idée de liberté recherchée aussi bien par l'esprit Ariel, l'esclave Caliban que le Magicien Prospero, confinés à leur façon sur une île, dans le passé voire à l'intérieur d'eux-mêmes. Ce n'est pourtant pas l'art de la magie qui libère Prospero, dévoré par le désir de se venger de ceux qui l'ont trahi et forcé à l'exil, mais le pardon notamment quand il verra l'amour que ressent sa fille Miranda pour le fils de son ennemi juré, le roi de Naples.