photo F'ESTIVAL DE RUSSOL ! IAROSS

F'ESTIVAL DE RUSSOL ! IAROSS

Musique, Concert

Laure-Minervois 11800

Le 31/07/2025

Pour sa 4ème édition, l'association Minervois, Music and More a décidé de lancer un vrai festival pendant quatre jours au Domaine de Russol à Laure-Minervois. Au programme, 6 concerts nocturnes, mais également de nombreuses animations et stands pour les grands et les petits en fin d'après-midi ! 16h30 : animations 19h30 : diner 21h30 : concerts. iAROSS en quelques mots... Au fil de sa poésie sensible, en équilibre fragile, iAROSS aborde la question des racines. A travers sa propre histoire, son propre chemin. "Ce que nous sommes" pour dire aussi "Ce que je suis". Dans un monde où l’on oublie facilement ses origines et où le passé s’efface vite, ce besoin de parler des choses qui nous construisent et nous ancrent dans le réel s’est fait sentir. L’album aborde cette question à travers différents thèmes comme l’amour, la fuite en avant, le lien à la nature et la recherche de sens. Ce qui nous construit, ce qui me construit. «Ce que nous sommes », c’est aussi une histoire poétique, dans différentes langues, l’Occitan, l’Arabe, le Créole. La voix est douce et puissante et les mélodies de trompettes, de violoncelle, viennent en dessiner les contours. Toujours rock et dense[...]

photo MA LANGUE MATERNELLE VA MOURIR ET J'AI DU MAL A VOUS PARLER D'AMOUR

MA LANGUE MATERNELLE VA MOURIR ET J'AI DU MAL A VOUS PARLER D'AMOUR

Musique

Couffoulens 11250

Le 03/04/2022

Cie Le beau monde - Yannick Jaulin / Alain Laribet Concert parlé A partir de 12 ans Durée: 1h10 Yannick Jaulin aime les mots, ce n’est pas nouveau. La langue est son outil de travail et le voilà qu’il parle de son outil, il met des mots sur les siens, le français qu’il adore, sa langue de tête, et le patois, sa langue émotionnelle. Il raconte joyeusement son amour des langues en duo avec Alain Larribet musicien du monde et béarnais. Il parle de son héritage sensible et de ses lubies : la honte des patois, la résistance à l’uniformisation, la jouissance d’utiliser une langue non-normalisée, et la perte de la transmission, car avec les mots disparaissent aussi les savoir-faire, les savoir-être au monde. Cette ode parfois mélancolique à sa langue maternelle n’est pas étriquée. Elle est pleine d’humour et, surtout, résonne avec l’histoire de toutes ces petites langues échappant à l’économie mondiale. Finalement, ce mélange de légèreté et d’érudition, de rappels historiques et d’anecdotes souriantes, sonne comme un plaidoyer à la diversité et à la différence. Un joyeux baroud d’honneur des minoritaires. Une jouissance langagière partagée sur un plateau frugal. De et part Yannick[...]

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