photo Journées du Patrimoine | Musée Antoine Vivenel

Journées du Patrimoine | Musée Antoine Vivenel

Patrimoine - Culture

Compiègne 60200

Du 20/09/2025 au 21/09/2025

Samedi et dimanche, de 10h à 13h et de 14h à 18h : Visite libre des collections du musée Exposition | Ça roule avec Joujoulac Focus sur les jouets roulants en bois laqué fabriqués dans le compiégnois. Au début du XXe siècle et jusqu’en 1969, ces jouets de locomotion sont fabriqués dans l’usine de Lacroix-Saint-Ouen. Camions, tracteurs, autobus, bateaux en bois soigneusement laqués font la renommée de la marque. En 1956, l'Oscar du jouet distingue même la reproduction en bois de la fameuse Citroën DS 19, célèbre modèle de voiture qui fête ses 70 ans cette année. Un témoignage de l’histoire industrielle de la région de Compiègne. Pour l’occasion, deux modèles de cette voiture mythique seront exposés exceptionnellement dans la cour intérieure du musée Antoine Vivenel, samedi et dimanche aux horaires d’ouverture du musée. Visites guidées thématiques Sous le musée, l’abbaye… histoire du quartier de l’abbaye des Jacobins et du parc Songeons → Samedi 20 septembre à 14h30 → Dimanche 21 septembre à 14h30 et à 16h Durée : 1h

photo Blue Hawaï - Laurent Gueneau / Les Photaumnales

Blue Hawaï - Laurent Gueneau / Les Photaumnales

Fête, Spectacle, Photographie - Vidéo

Thourotte 60150

Du 28/09/2021 au 27/11/2021

Exposition de photographie contemporaine présentée dans le cadre du festival Les Photaumnales, organisé par Diaphane, pôle régional de la photographie en Hauts-de-France. Comme tombées du ciel les fêtes foraines agissent telles des trublions dans le paysage. Elles s’approprient l’espace, le tourmentent et l’enchevêtrent. « Dans le village de mon enfance, la fête foraine s’installait autour du marronnier entre le lavoir et la rivière, bloquant la route principale et les rues attenantes. En l’espace d’une nuit, le paysage était transfiguré. Les camions étaient arrivés la veille, les forains s’étaient agités toute la nuit et le matin, quand je prenais le chemin de la rivière, le choc visuel était frontal. Des bâches de couleur intenses recouvraient les manèges et conféraient encore plus de gravité à la pierre ordinaire des maisons du village. Aujourd’hui, je revisite ces mises en scène à hauteur d’homme. Mon rapport d’échelle n’étant plus le même et mon champ de vision ayant pris de l’amplitude, je peux librement faire jouer les équilibres et chercher de nouvelles physionomie dans le paysage. J’arrange les formes et combine les couleurs. Les unes soulignent ou allègent les[...]