informations générales
Adresse
- Église Saint-Guillaume
Infos
- tarifs :
Entrée libre sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Strasbourg
- Le 30/09/2025
Comment rester humain face à ce qui nous échappe ? Que peut la littérature face à la violence du monde ? Peut-on ouvrir un dialogue face à l'incompréhensible ?
Marie Semelin a longtemps été journaliste au Proche-Orient et brosse une fresque de 1955 à aujourd'hui du conflit israélo-palestinien, portée par une galerie de personnages aux identités mouvementées qui nous incitent à sonder l'humanité dans chacune de nos rencontres. Marie Semelin exalte l'amitié entre deux femmes liées ni par le sang, ni par l'âge ou le milieu d'origine, réunies par leur liberté et leur rapport tendancieux à la vérité.
Rachid Benzine, islamologue et écrivain, poursuit son travail de passeur entre les mondes. Après le formidable accueil des « Silences des pères », il nous raconte une fable inoubliable d'un libraire gazaouï convaincu du pouvoir des mots. Profondément humaniste, il montre comment les mots, les récits et la littérature peuvent servir de rempart contre la violence.
Là où « Les Certitudes » dissèquent les effets destructeurs d'un enfermement idéologique, « L'homme qui lisait des livres » ouvre la voie d'une reconstruction par le langage et la transmission.
Rencontre avec Rachid Benzine, L'Homme qui lisait des livres ( Julliard ) et Marie Semelin, Les Certitudes ( JC Lattès ).
Marie Semelin a longtemps été journaliste au Proche-Orient et brosse une fresque de 1955 à aujourd'hui du conflit israélo-palestinien, portée par une galerie de personnages aux identités mouvementées qui nous incitent à sonder l'humanité dans chacune de nos rencontres. Marie Semelin exalte l'amitié entre deux femmes liées ni par le sang, ni par l'âge ou le milieu d'origine, réunies par leur liberté et leur rapport tendancieux à la vérité.
Rachid Benzine, islamologue et écrivain, poursuit son travail de passeur entre les mondes. Après le formidable accueil des « Silences des pères », il nous raconte une fable inoubliable d'un libraire gazaouï convaincu du pouvoir des mots. Profondément humaniste, il montre comment les mots, les récits et la littérature peuvent servir de rempart contre la violence.
Là où « Les Certitudes » dissèquent les effets destructeurs d'un enfermement idéologique, « L'homme qui lisait des livres » ouvre la voie d'une reconstruction par le langage et la transmission.
Rencontre avec Rachid Benzine, L'Homme qui lisait des livres ( Julliard ) et Marie Semelin, Les Certitudes ( JC Lattès ).
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