Peintures de Miriam Hartmann : Forêts cezanniennes #2

Un nouvel accrochage avec des œuvres récentes sur le thème des forêts cezanniennes est prévu à partir du 4 septembre.

" La perception du lieu évolue avec le travail. Des liens se créent, des relations se tissent. S'entendre avant de s'exprimer : mes peintures vont vers la réduction et l'abstraction. Des aquarelles très légères laissent entendre la voix silencieuse de la nature...
... Des dessins qui reprennent les mouvements des rochers, des arbres et des sous-bois sauvages. Dire peu pour créer un espace fécond...

... Ce qui donne envie de réaliser quelques grands formats dans l'atelier.

Et encore, les « superpositions ». Ce sont des « lieux où il est beau de rester », je n'ai pas encore trouvé le titre final de ce travail.
« Il y avait – il y a », je reprends le poème « perdu » de mon livre « Outre Soi » :

Perdu - Lost

Il y avait – Es war einmal
Il y a.
Dans le vide, le monde s'organise
à nouveau, encore une fois.

There was – il y avait
There is.
In the void, the world organizes itself
again, once more. "