photo Exposition Amour Marseille à mort

Exposition Amour Marseille à mort

Exposition, Lecture - Conte - Poésie

Marseille 13000

Du 06/11/2025 au 26/12/2025

Du 6 novembre au 26 décembre 2025, la Mairie des 9e et 10e arrondissements de Marseille, accueille l’exposition immersive Amour Marseille À Mort, signée Michel Stefanini, plasticien polymorphe et poète visuel. À cette occasion, paraîtra l’ouvrage éponyme aux Éditions Pascale Inina, présenté et dédicacé par l’artiste, le jour du vernissage. Peintures, photographies, installations, créations sonores et vidéogrammes composent cette traversée sensorielle et poétique. Un voyage intime et chaotique dans les entrailles de Marseille. Une trentaine d’œuvres sont réparties entre le parvis, le hall et la grande salle de Maison Blanche. "Michel Stefanini, aborde le paysage marseillais, comme l’acteur essentiel de son travail. On pourrait penser que la figure humaine lui importe peu... Cependant, la lecture de ses écrits nous révèle qu’elle en est l’actrice principale. Dans Amour Marseille À Mort, l’auteur nous propose une chorégraphie plasticienne où chacun des éléments mis en scène, joue sa propre partition au service de l’ensemble. La forme peut être douce ou acide, cruelle ou tendre, mais pour autant, elle laisse toujours la primeur à la part poétique de l’œuvre.

photo Sandra Moussempès & Nathalie Quintane

Sandra Moussempès & Nathalie Quintane

Lecture - Conte - Poésie

Marseille 13000

Le 15/12/2021

Dans le cadre des Mercredis de Montévidéo Lecture - Lecture performée Sandra Moussempès, Cassandre à bout portant (éditions Flammarion, janvier 2021) Cassandre à bout portant poursuit cette quête obstinée de Sandra Moussempès des objets féminins non identifiés à travers les clichés de l’imaginaire contemporain (celui des séries américaines en particulier), détournés avec une ironie teintée de tendresse. Le ciel s’est éclairci dans l’univers de l’autrice, l’humour semble désormais maintenir à distance les monstres du passé. Ce qui n’ôte rien à l’étrangeté des images que son écriture parvient à susciter, avec une innocence qui n’exclut pas un soupçon de perversité. Jusqu’où peut aller une pin-up assortie à sa fourchette, endormie sur le sol d’une maison hantée ? Telle est l’une des questions que pose ce livre grave, joyeusement décalé. Nathalie Quintane, La Cavalière (éditions P.O.L, octobre 2021) En mars 1976, on a pu lire dans la presse : « Des partouzes chez la jolie prof de philo du lycée mixte ! Tous les honnêtes gens de Digne crient au scandale et ils ont raison. » La prof en question s’appelait Nelly Cavallero, trente-quatre ans, professeure agrégée[...]

photo Rencontre avec Juan Asensio

Rencontre avec Juan Asensio

Science et technique, Lecture - Conte - Poésie

Aix-en-Provence 13090

Le 24/03/2022

Il ne travaille pour aucun journal, pour aucune maison d’éditions. Il n’est professeur dans aucune université, n’est le chroniqueur d’aucune émission télévisée. Depuis 2004, Juan Asensio publie en toute indépendance des critiques littéraires sur le blogue qu’il a fondé : « Stalker ». Des centaines de notes de lecture dans lesquelles ce tonitruant pamphlétaire étrille les fausses gloires littéraires d’aujourd'hui. Ce sont cependant l’admiration et l’enthousiasme qui prévalent chez ce lecteur infatigable, dont l’éclectisme nous fait côtoyer tour à tour les livres de Bernanos, Conrad et Léon Bloy, des contemporains comme Roberto Bolaño, Cormac McCarty et Sebald, en passant par les grands classiques de la science-fiction. Inlassablement, Juan Asensio mène également un travail salutaire et salubre de réhabilitation des chefs-d'œuvre méconnus ou carrément oubliés de la littérature. Un exemple revigorant de ce que fut la critique littéraire et de ce qu’elle n’est plus que trop rarement.