photo Théâtre : Un Sacre

Théâtre : Un Sacre

Musique, Théâtre, Spectacle

Amiens 80000

Du 20/05/2026 au 21/05/2026

Lorraine de Sagazan — Cie La Brèche Le théâtre et la mort se regardent en face Arrêtez-vous : voilà une merveille de spectacle, de ceux qui tout à la fois éblouissent et consolent et qu’on garde en tête et au cœur bien longtemps. Et pourtant : sacré sujet que la mort ! Et sacré pari que de le traiter sans sordide ou pathétique, relevé haut la main par une troupe sublime et extraordinairement inventive, engagée corps et âme, sang et larmes. Les interprètes tour à tour honorent des défunts qui pourraient être nôtres : le parent, l’ami, celui qui a sauvé la vie, celui à qui on a volé la sienne… Tous sont célébrés dans une cérémonie païenne, collective et joyeuse, associant danse, musique, explosion de couleurs et miracles scéniques. C’est drôle, fort, palpitant, digne et bouleversant, ça répare et ça réconcilie : à l’image des décors qui ne cessent de se transformer, passant de l’intérieur froid à un véritable jardin de fleurs et de végétations. Un spectacle comme un hommage à la vie. En partenariat avec la Comédie de Picardie DÈS 15 ANS TARIF 2 · 8 À 25€ DURÉE · 2H40 RÉSERVATION ADHÉRENTS JEUDI 5 JUIN RÉSERVATION PUBLIC MARDI 2 SEPTEMBRE

photo Théâtre : Pingouin

Théâtre : Pingouin

Amiens 80000

Le 08/03/2022

Dès 8 ans. Nous sommes nourris dès l’enfance d’images stéréotypées de l’amour, qui nous poursuivent longtemps. Des modes d’emploi sont conçus pour contraindre la relation amoureuse à tout âge. Dans quelle mesure les injonctions du collectif viennent perturber l’intime, qu’on soit petit, moyen ou grand ? Pingouin (Discours amoureux) met cette question en jeu avec jubilation et légèreté. D’observations théoriques en expérimentations, Amazone et Abélard questionnent l’amour, son langage et ses codes et les réinventent. À se frotter l’un à l’autre, les deux personnages se piquent ! On entend dans la pièce à la fois des enfants, des adolescents, mais aussi des adultes, qui auraient gardé précieusement leur part d’enfance, parce qu’il est question des prémices de l’amour et des premiers émois sensuels, un tout petit peu… érotiques.