photo fête de fin d'année

fête de fin d'année

Pour enfants, Exposition, Concert, Photographie - Vidéo, Musique traditionnelle, Vie associative, Fête, Manifestation culturelle, Vie locale, Portes ouvertes, Musique du monde, Spectacle, Danse - Bal - Cabaret, Sports et loisirs, Repas - Dégustation

Hiersac - 16

Du 16/06/2018 à 18:30 au 17/06/2018 à 01:00

Fête de la danse et de la musique de Guinée à la salle socio culturelle de HIERSAC à partir de 18h30.? Une soirée festive et le spectacle de fin d'année de l'association Mounafanyi. Iniitation, démonstration des cours de danse et de percussions  Infos et Contact : 06.70.12.04.26  

photo Orchestre des Champs-Elysées

Orchestre des Champs-Elysées

Musique, Competition sportive

Dijon 21000

Le 20/05/2025

Après s’être confronté la saison passée à la profondeur du Requiem de Mozart, l’Orchestre des Champs-Élysées est de retour pour une magistrale démonstration beethovénienne confiée à la baguette experte de Philippe Herreweghe. Créée en 1807, la Symphonie n°4 est une œuvre pleine de charme, dont Schumann a déclaré qu’elle était, entre l’Héroïque et la célèbre Cinquième, « comme une mince fille de la Grèce entre deux géants nordiques»! Malgré son introduction lente et inquiétante, le premier mouvement déborde de grâce, précédent un Adagio dont la mélodie, d’une inexprimable tendresse, subjugua Berlioz. Viennent ensuite un Scherzo énergique, tout en contrastes de nuances, suivi d’un Finale bouillonnant, en forme de mouvement perpétuel. Six années à peine plus tard, Beethoven connaissait avec sa Symphonie n°7 l’un des plus grands triomphes publics de sa carrière. Après un mouvement initial d’abord majestueux puis rythmiquement explosif, vient l’illustre Allegretto, admirable et obsédante marche qui s’orne peu à peu d’admirables contrechants. Enjoué, le Scherzo libère l’esprit de la danse bien qu’il cite une mélodie liturgique; quant au Finale, il est l’exemple même de la déflagration[...]

photo Orchestre des Champs-Elysées

Orchestre des Champs-Elysées

Dijon 21000

Le 20/05/2025

Après s’être confronté la saison passée à la profondeur du Requiem de Mozart, l’Orchestre des Champs-Élysées est de retour pour une magistrale démonstration beethovénienne confiée à la baguette experte de Philippe Herreweghe. Créée en 1807, la Symphonie n°4 est une œuvre pleine de charme, dont Schumann a déclaré qu’elle était, entre l’Héroïque et la célèbre Cinquième, « comme une mince fille de la Grèce entre deux géants nordiques»! Malgré son introduction lente et inquiétante, le premier mouvement déborde de grâce, précédent un Adagio dont la mélodie, d’une inexprimable tendresse, subjugua Berlioz. Viennent ensuite un Scherzo énergique, tout en contrastes de nuances, suivi d’un Finale bouillonnant, en forme de mouvement perpétuel. Six années à peine plus tard, Beethoven connaissait avec sa Symphonie n°7 l’un des plus grands triomphes publics de sa carrière. Après un mouvement initial d’abord majestueux puis rythmiquement explosif, vient l’illustre Allegretto, admirable et obsédante marche qui s’orne peu à peu d’admirables contrechants. Enjoué, le Scherzo libère l’esprit de la danse bien qu’il cite une mélodie liturgique; quant au Finale, il est l’exemple même de la déflagration[...]