photo Les mardis de l'Oustau

Les mardis de l'Oustau

Lecture - Conte - Poésie, Concert

Aix-en-Provence 13090

Du 03/06/2025 au 24/06/2025

Leà, Leò et Zac, un garçonnet, une fillette et un gros ours en peluche sont enfermés dans les pages d’un livre. Réussiront-ils à s’en échapper pour partir à la découverte du monde ? L’affaire n’est pas simple d’autant plus que Zac, coquin et espiègle, toujours avide d’écouter des histoires ne va leur simplifier la tâche. Au fil des quatre « dimarç de l’Ostau» les trois personnages vont réussir à trouver le moyen de satisfaire les caprices de Zac en lui contant des histoires. Histoires qui donneront les clés pour de s’évader des pages du livre.. Cette animation spectacle a été construite à partir d’albums de litterature jeunesse édités en provençal par l’Association pour l’ Enseignement de la Langue d’Oc. Le conteur Rémy SALAMON sera tour à tour accompagné d’une conteuse, de chanteuses, chanteurs et musiciens de l’association LO TERRALHET. Les albums de référence : ● Léa, Leò e Zac - Corinne Schroff traduction en provençal Mireille Combe et Rémy salamon. ● Monsur Jorn e Dòna Nuech - texte Véronique Deroide - illustrations Franscesco Giustozzi traduction en provençal Mireille Combe. ● Lo Pita Luna - texte Ana Noisier - illustrations Caroline palayer traduction[...]

photo Au bois dormant, fantaisie pour une belle qui sommeille

Au bois dormant, fantaisie pour une belle qui sommeille

Spectacle, Lecture - Conte - Poésie

Marseille 13000

Du 04/06/2025 au 14/06/2025

À partir de 4 ans D’après Giambattista, les Frères Grimm, Perrault, Tchaïkovski et d’autres… Sans cesse, il nous faut parvenir à montrer ce dont nous sommes capables. Le succès est une mise à l’épreuve dont nous devons ressortir vainqueurs : il faut réussir pour grandir. Pourtant, dans La Belle au bois dormant, la jeune héroïne devient femme… en dormant. Dormir pour devenir. Sa prouesse à elle, ce sera d’attendre, et même pendant cent ans ! Si tout le monde connaît La Belle au bois dormant, personne ne s’en souvient vraiment, chacun se perd entre les différentes versions de l’histoire, confondant les détails, effaçant les enjeux… C’est dans ces interstices d’oubli que le spectacle creuse, avec ces restes qu’il compose. La mémoire nous manque et le spectacle est comme une déambulation entre les vestiges du conte. Que reste-t-il du récit lorsqu’on ne le raconte pas ? Qu’est-ce qui surgit du conte quand il se tait ? Il ne suffit pas de dire que l’on y voit moins bien la nuit, il faut comprendre pourquoi l’obscurité invite à regarder (et à sentir) autrement. Michaël Foessel