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Téléphone
  • 02 61 52 29 20
Email
  • accueil@lesfranciscaines.fr
Adresse
  • 145B avenue de la République
Horaires
  • 19:30 à 21:30
Infos
  • Tarif : Tarif de base 15,00
    abonnés Friendciscaines : Tarif abonné 8,00
    moins de 18 ans, étudiants, bénéficiaires des minimas sociaux : Tarif réduit 5,00
  • Deauville

Jane Birkin et Serge Gainsbourg se rencontrent en 1968. Invités par Régine, ils adoptent Deauville à partir de 1969. Charlotte nait en 1971. En 1975, Jane achète le presbytère de Cresseveuille, où Ils invitent : Andrew Birkin, Régine, Jean-Claude Vannier ou Yul Brynner, parrain de Charlotte venu en voisin de Bonnebosq. Véronique Mortaigne, journaliste, a longtemps commenté et suivi la chanson pour Le Monde puis à Télérama. Elle conte ici les années heureuses et amoureuses de Jane et Serge. A ses côtés Barbara Carlotti, compose un mini récital et reprend de sa belle voix grave les chansons aimées de Serge G. et celles chantées par lui, par Jane B. ou Régine, pour parcourir, en histoires et en chansons une ardente histoire d'amour, dans laquelle Deauville et le Pays d'Auge furent aussi le décor.

Une création des Franciscaines / Deauville, conçue par Véronique Mortaigne, avec Barbara Carlotti, chant.

JANE ET SERGE
Gainsbourg-Birkin se rencontrent en 1968. Ils fréquentent beaucoup Deauville. Dès 1968, ils vont en week-end dans la maison que Régine occupe près de Deauville. Charlotte nait en 1971. Jane achète le presbytère de Cresseveuille en 1975, là où passe le Méridien de Geenwich, pile poil. Yul Brynner, qui a une maison à quelques kilomètres, devient le parrain de Charlotte. Serge fait ses courses en solex, fréquente le Normandy à Deauville, et le bistrot du coin. Jane n'est pas une muse. C'est une jeune artiste du Swinging London, elle va beaucoup apporter à Gainsbourg. Elle dit que la première chose qu'elle a donné, c'est de lui rendre sa féminité à lui. Il adopte les mocassins repeto, la barbe mal taillée, les cheveux dans le coup, elle lui offre des " bijoux de duchesse ". Lui a une sœur jumelle. Elle est androgyne, il est ambigu. Elle est la fille d'un commandant de la Navy qui a aidé la résistance française, il est le fils d'émigrés juifs russes obligés à porter l'étoile jaune.
Si on a vu Serge Gainsbourg fréquenter Saint-Tropez et son icône Brigitte Bardot, si les scènes de jalousie de Serge Gainsbourg lors du tournage de " La Piscine " à Ramatuelle sont légendaires, la Normandie où Serge Gainsbourg disait " s'emmerder " est en réalité un lieu d'amitié et de souvenirs amoureux.
En effet, son père était pianiste et faisait avec sa famille la tournée des casinos de plages, notamment sur la Côte Fleurie. L'un des rares tableaux demeurés intacts peint pas Gainsbourg, un garçon et une fille jouant dans le sable, a été conservé par Juliette Gréco à qui il l'avait offert.
Androgynie, gémellité, provocations dans l'air du temps, et " blanche " ( calva ) emballé dans du papier journal, sortant d'un bouilleur quelconque, faisaient les fastes des pique-niques champêtre avec grande tablée et paniers d'osier, le chez Régine intime du couple iconique de la pop made in France et fabriquée en Angleterre.

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